vendredi 16 septembre 2016

Sommes-nous des électro sensibles en devenir ?



Depuis quelques années nous entendons parler de personnes électros sensibles aux champs électromagnétiques de basses fréquences (lignes hautes tensions, ampoules fluo compactes, etc.) et  hautes fréquences (WiFi, compteur hydro dernière génération, cellulaire, etc.).   L’électro hyper sensibilité est une personne développant des pathologies handicapantes dont la principale cause sont les technologies principalement de type mobileactuellement, au Québec ne reconnait pas cette pathologie bien que celle-ci soit reconnue par l’OMS, la Suède, l’Angleterre et certaines villes aux États-Unis et au Canada comme Toronto. Pour certains c’est donc une maladie imaginaire : tout est dans la tête…

Pourtant, en effectuant des études de maison dans le cadre de la géobiologie au Québec, je me rends compte que nous sommes surexposés à ces champs électromagnétiques et plus particulièrement dans les grandes villes comme Montréal :

  • Champ magnétique en moyenne de 1,5 à 2 mG à cause de mauvaises mises à la terre (courants induits circulant dans la tuyauterie).
  • Champs électriques élevés par du câblage mal installé sans gaine de protection 
  • WiFi
  • Téléphone sans fil
  • Compteur hydro nouvelle génération
  • Réseau Wimax : réseau sans fil métropolitain

Tout ça c’est du non visible avec  nos cinq sens, mais si on commence à mesurer ces champs ou se mettre à ouvrir notre ressenti par rapport à ceci, ce n’est pas agréable.



Antennes cellulaires en plein centre-ville de Montréal

Exemple de projection d’antennes cellulaires en plein centre-ville de Montréal : du «starwars»

Quand vous sortez de la ville pour aller dans la nature, n’avez-vous pas remarqué que vous vous sentez avec plus de vitalité ? Normal, votre corps est «bombardé» en permanence et celui-ci doit réagir aux stimuli extérieurs tels que les ondes électromagnétiques, fatiguant n’est-ce pas ? Maintenant même la nuit, votre corps doit réagir à ceci, entre le WiFi qui marche 24h sur 24h, le laptop / cellulaire non éteint etc. Il y a de quoi être fatigué en permanence (pour commencer..). Des études[i] ont démontré que notre corps réagissait au début à ces champs en créant une protéine de stress[ii] mais à la longue, vu que cela est permanent, le corps ne réagit plus, notre système laisse la «porte ouverte» aux pollutions extérieures. Les différents symptômes ensuite varient selon les personnes, mais en voici quelques un : 


  • Migraines
  • Trouble du sommeil
  • Manque de concentration
  • Hyperactivité
  • Etc.


On nous parle souvent des normes, que l’on est correct, etc. Mais qu’est-ce qu’une norme ? C’est une valeur établie par un consortium disant que l’on ne doit pas dépasser tel seuil pour la santé humaine. Les normes diffèrent d’un pays à l’autre; au Canada c’est les plus élevés, on ne  peut pas se fier là-dessus.

Au Québec, nous sommes une des provinces les plus exposées aux champs magnétiques de basses fréquences (entre autres, aucune étude encore sur les hautes fréquences n’a été faite dans les provinces) , même l’institut national de santé publique du Québec recommande une mise en place d’une prévention pour les champs électromagnétiques de basses fréquences :<

«Le niveau de risque associé à l’exposition aux CEM pour l’ensemble de la population, s’il est
réel, s’avère faible. Néanmoins, du fait que pour certains groupes plus exposés, il peut s’agir
d’un risque important, l’Institut national de santé publique du Québec considère que le
gouvernement du Québec devrait prendre position sur la gestion des CEM et se doter d’une
approche de précaution. Cette position devra considérer d’une part, la sensibilité des enjeux
autour du risque de leucémie chez l’enfant et d’autre part, les incertitudes scientifiques quant à la
détermination d’un lien causal.»[iii]


Source INSPQ

Il est grand temps de mettre en place une hygiène électromagnétique au sein de nos maisons / écoles / etc. avant que l’on devienne tous des électros sensibles…

Vous pouvez commencer tout de suite facilement chez vous :

  • Couper le soir tout ce qui est hautes fréquences et non requis : WiFi, Bluetooth, cellulaire, ordinateur, téléphone sans fil; ou connecter le tout par filage.
  • Mettre des lampes LED au lieu de lampes fluocompactes qui dégagent des champs électriques élevés.
  • Éviter le maximum de câblage qui passe dans les chambres à coucher, faire du filage en étoile et non en boucle.



[i] Graham et Cook - 1999; rapport du programme EMF de l’état californien – 2002; Rapport bio initiative 2012

[ii] «Ces ondes qui nous entourent» - Martin Blank – Écosociété – ISBN 978-2-89719-248-8 - 2016
[iii] «Exposition aux champs électromagnétiques : Mise à jour des risques pour la santé et pertinence de la mise en œuvre du principe de précaution »– INSPQ – décembre 2006

mardi 23 août 2016

Nos maisons respirent-elles bien ?

En baubiologie (approche allemande pour «habiter et bâtir sain»), on dit qu’une maison est comme un être vivant, si une partie de la maison est deffectueurse c’est comme un organe malade qui un jour ou l’autre se reflétera automatiquement sur la santé des habitants. 

En étudiant plusieurs maisons au Québec,  on se rend compte que la plupart des maisons ne respirent plus, plus particulièrement les maisons qui n’ont pas d’échangeur d’air (depuis 2012, cela est obligatoire dans les nouvelles constructions. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement que les nouvelles fenêtres sont tellement bien isolées que l’air ne circule plus et comme les hivers sont très long ici, peu de chance d’ouvrir régulièrement les fenêtres.

Il est important de savoir que la qualité de l’air est un élément essentiel de notre santé, car le fait qu’une maison ne respire plus engendre :

  • Taux de CO2 élevé : nous dégageons du CO2 donc si l’air n’est pas renouvellé, nous commençons par sentir un mal-être (mal de tête, manque de concentration, etc.
  • Augmentation de l’humidité : Avez-vous déjà remarqué de la condensation au bas de vos nouvelles fenêtres. Cela peut amener de la moisissure.
  • Taux de COV (Composé Organique Volatile) élevé : les COV  sont présents dans les matelas en polyuréthanne, sols stratifiés, meubles en agglomérés ou contreplaqués, peintures à l’huile, papiers peints.  On retrouve principalement le formaldéhyde qui est un polluant sous forme de gaz très volatil, produit depuis environ 110 ans ! Il se trouve principalement dans les panneaux de particules et autres matériaux dérivés du bois, mais aussi dans certains isolants (laine de verre), dans les produits de nettoyage, de désinfection, et de conservation, dans les détergents, les textiles, les gaz d’échappement de voitures et dans la fumée de cigarette. Le formaldéhyde est classé cancérigène par l’OMS (l’Organisation mondiale de la Santé).



Comment y remédier si vous n’avez pas d’échanger d’air et vous ne voulez pas investir. Les recommandations en baubiologie sont  donc de ventiler périodiquement la maison avec des durées variables  en fonction de la température.  Par exemple, au Québec,  nous connaissons des températures extrêmes en hiver, avec des -40 Celsius, ce qui rend l’aération difficile.  Plus l’écart de température entre l’extérieur et l’intérieur de la maison est minime, plus on peut aérer.



Saison
Durée d’ouverture de la fenêtre / heure
Hiver
2 à 4 minutes
Printemps
4 à 10 minutes
Été
25 à 30 minutes
Automne
2 à 4 minutes


Il est conseillé d’ouvrir les fenêtres pour aérer avant et après la nuit pour les chambres et après la douche dans la salle de bain, mais aussi pendant ou après le ménage. Il vaut mieux aérer de façon courte avec toutes les fenêtres et portes complètement ouvertes et en plusieurs fois, plutôt que d’aérer peu et longuement.

D’autres solutions sont de s’assurer que les matériaux de la maison (peinture, revêtement, etc.) ont des propriétés hygroscopiques, installer des grilles d’aération dans les fenêtres,  ou des ventilateurs dans la cuisine et la salle de bain.

Il existe aussi des plantes intérieures qui peuvent changer la qualité de l’air :  elles ont la particularité d’être agréables au sein de notre environnement (surtout celles qui ont des feuilles rondes, qui envoient une onde de forme douce) mais certaines plantes ont la propriété d’absorber les COV, donc de régénérer l’air ambiant.  Les plantes respirent comme nous et  relâchent aussi du C02 (plus particulièrement la nuit), il n’est donc pas recommandé de mettre des plantes en quantité dans votre chambre.

Vous pouvez consulter le site http://www.plantes-depolluantes.com/ qui est très complet.

Benoit Tramblay

Géobiologue – Baubiologue IBEF

samedi 23 janvier 2016

L’abc de la baubiologie et de la géobiologie


Introduit en 1969 en Allemagne par le Professeur Anton Schneider, le fondateur de l’Institut de Baubiologie et d’Ecologie de Neubauern IBN. L’étymologie du mot baubiologie est :

  • Bau-construction : maison, peau, enveloppe, domicile, attache, refuge, logement, habitat, habitude,sécurité, protection, cabane; chapeau, veiller, préserver
  • Bio-bios : vie, vitalité naturel, monde vivant
  • Logie-logos : parole (parole de dieu, jugement), création (force créatrice), incarnation, matérialisation, raison mondiale, ordre mondial, harmonie, santé, univers, globalité; culture, unité (esprit-âme-corps)


 La baubiologie vise à « bâtir et habiter sain ». Pour ce faire, l'approche de la baubiologie se base sur une étude globale des interrelations physiologiques, psychologiques, physico-techniques et l'interaction entre l'œuvre (ou aménagement) bâti, l'utilisateur (ou habitant) et son environnement.

Les règles de base de la baubiologie trouvent une application concrète dans la construction d'habitations, d'écoles, d'hôpitaux etc.

Dans La géobiologie on retrouve la même émythologie sauf qu’elle commence par la Terre, l’étude de la Terre dans sa vitalité. La géobiologie tire ses fondements sur des méthodes ancestrales que l’on retrouve dans les grandes traditions comme la Haute Égypte ou les Celtes par la pose des pierres pour réquilibrer les  échanges cosmo-telluriques; elle se base aussi sur les normes de la baubiologie pour tout ce qui concerne les nouvelles pollutions du XXième siècle (pollutions électromagnétiques, architectures, matériaux, etc.).  L’étymologie du mot géobiologie est :


  • Géo-Gé : La Terre
  • Bio-bios : vie, vitalité naturel, monde vivant
  • Logie-logos : parole (parole de dieu, jugement), création (force créatrice), incarnation, matérialisation, raison mondiale, ordre mondial, harmonie, santé, univers, globalité; culture, unité (esprit-âme-corps)



La géobiologie couvre plusieurs aspects allant de la médecine de l’habitat (objectif similaire à la baubiologie) au sacré considérant les hautes énergies de la Terre, canalisés par les bâtisseurs dans les cathédrales, dans les hauts lieux cosmo-telluriques naturels, ou par la mise en place de pierres levés par des initiés tels que les druides.

La géobiologie et la baubiologie se rejoignent donc au niveau de l’habitat, voir complémentaire, à la différence est que la baubiologie se base sur des mesures qualifiables et quantitatives alors qu’initialement la géobiologie se base sur des mesures de ressenti, et ceci étant considérés pour certains comme subjectives; pourtant les nouvelles technologie nous permettent maintenant de plus en plus de qualifier concrètement notre ressenti, par exemple : un courant d’eau avec des baguettes de sourcier est qualifiable avec un géomagnétomètre. De plus en plus des géobiologues intègrent les pratiques des baubiologues dans leur approche, on parle plus alors de géobiologie scientifique.

Les principes de la baubiologie

Les principes de la baubiologie sont basés sur une étude globale des éléments de notre maison intéragissant avec l'environnement et nous-mêmes se basant sur les grandes lignes suivantes :

  •  L'environnement et site de l’habitat ne devant se trouver sans aucunes perturbations souterraines (courant d’eau, faille, etc.), pouvant affecter le champ magnétique terrestre donc nous affectant aussi par le fait même (notre corps contient de la magnétite).
  • Les matériaux de construction devant être le plus naturel possible  (pas de colle avec COV, assemblage sans colle en bois franc)  et respecter l'écobilan (impact du cycle de vie du matériau de sa naissance à sa récupération au niveau écologique).
  • La forme, les dimensions, les couleurs etc. devant respecter une harmonie naturelle. En effet, la nature suit une géométrie et proportion de base et universelle nous permettant d’être en harmonie avec elle, si nos maisons ne suivent pas ces concepts, on ne peut se sentir bien.
  •  Le climat intérieur par la qualité de l'air, comme disait hypocrate, «l’air pur est le premier aliment et le premier médicament»; les odeurs dû aux émissions toxiques par des matériaux ou autres, affectent notre bien-être physique et psychologique (il est plus agréable de sentir des odeurs naturels que du plastique);  la lumière naturelle dans la maison, il est reconnu si on manque de lumière naturelle, on devient dépressif;  le bruit affecte notre état psychologique voir affecter notre état de santé (risque d’AVC plus grand); et les couleurs, on sait que les couleurs émettent des vibrations et influencent notre état psychologique.
  • Les types de chauffage : solaire, à convection, etc. Le chauffage doit apporter un bioclimat dans la maison et non un lot de perturbations comme cela l’est actuellement pour les chauffages électriques où on parle de la maladie du chauffage.
  • Les pollutions électromagnétiques : on parle des champs basse fréquences (champs électriques et magnétiques dû à l’alimentation électrique de nos maisons) et des champs hautes fréquences (wifi,  antenne cellulaire). Les normes sont les plus sévères mais les plus sures au niveau de notre santé. Elles sont utilisées comme référence dans le milieu de la géobiologie.
  • La physiologie de l'habitat s’intéresse à l’adaptation du bâtiment, des pièces et des meubles afin de promouvoir la santé, le bien être en fonction des besoins anatomiques.
  • La psychologie de l'habitat couvre les aspects  entre le psychique et l’habitat (forme et taille des pièces).


 Les principes de la géobiologie pour une maison

Actuellement on ne peut pas dire qu’il y a des principes de base vu qu’il n’y a pas de consortium entre les écoles de géobiologie, donc cette liste est exhaustive et varie selon les «couleurs du géobiologue» mais on doit y retrouver au moins ces grandes lignes que le géobiologue doit identifier et harmoniser (ou rééquilibrer)  s’il y a lieu :

  • L'environnement et site de l’habitat ne devant pas se trouver sans aucune perturbation : Les ondes géopathogènes liées au courant d’eau, failles, croisement actifs de réseaux énergétiques entourant la terre, etc.
  • Les émissions de forme : tout objet émet une vibration, les radiesthésistes / physiciens Chauméry et Bélizal ont redécouvert les émissions de phases d’une forme dites en phases électriques et magnétiques dans les anciennes civilisations. Ces émissions de forme travaillent sur le plan subtil mais peuvent être régénératrices ou destructrices.
  • La mémoire du lieu  est liée au passé du terrain ou de la maison où des évènements tragiques se sont déroulés (massacre, guerre, meurtre, divorce, etc.) laissant un mal-être sur le lieu. On rencontre ce genre de configuration dans les maisons du Québec souvent dû à un drame familial ou des anciennes terres amérindiennes où des batailles ont eu lieu contre les colons.
  • Les entités, phénomènes parfois discréditer dans les médias par des émissions douteuses mais hélas bien plus présent qu’on ne le pense. Tant qu’il n’y aura pas d’approche d’accompagnement de fin de vie dans les hôpitaux, des personnes se retrouveront entre deux «plans» bloquer par souci de ne pas laisser seul leur proche ici-bas dans ce monde incertain entre autres.
  • Les objets chargés sont des meubles, bijoux, vêtement etc. qui sont imprégnés de l’énergie des anciens propriétaires qui vivaient des moments difficiles et ont laissé une charge négative dans l’objet. Le nouveau propriétaire peut ressentir un inconfort.

Pour la géobiologie scientifique :
·        
  •  La bioconstruction : basé sur les mêmes concepts que la baubiologie, les matériaux de construction devant être le plus naturels,  etc.
  •  Les pollutions électromagnétiques : les standards de la baubiologie sont pris comme référence dans les études géobiologiques, les pollutions électromagnétiques sont devenues hélas, un élément incontournable dans l’étude des maisons.


Benoît Tramblay
Naturopathie-géobiologue - Finissant en baubiologie
Tél: 514.910.1082
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
www.naturame.ca | info@naturame.ca

  

samedi 2 janvier 2016

Impact énergétique d’une orgonite et d’une plaque biorésonateur dans une pièce de la maison

Cet article fait suite à l’étude «L’orgoniteet les champs électromagnétiques» où je montrais que l’orgonite ne faisait pas baisser les champs électromagnétiques sur le plan physique comme une vidéo montrait sur le net, mais devait surement travailler sur des plans plus subtils. Bizarrement. Deux semaines plus tard, je recevais une grosse orgonite où le fournisseur des États-Unis de la plaque biorésonateur fait une erreur de destinataire…. Difficile de ne pas croire aux synchronicités…  Je compris que je devais continuer l’étude de l’orgonite. Actuellement j’ai une petite orgonite exposée en permanence à des champs électriques depuis août et la bonne nouvelle, elle n’est pas encore chargée.  Pour la mesure de la  grosse orgonite, j’ai utilisé la technologie GDV et l’antenne Sputnik pour mesurer le taux vibratoire de la pièce et j’en ai profité pour tester une grande plaque biorésonateur à titre comparatif.

Rappel sur la technologie GDV  



La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.




Lors de la mesure de l’énergie de l’environnement, celle-ci est très sensible aux conditions externes (atmosphère, etc.)  incluant les émotions humaines. Toutes les mesures ont été prises sans présence humaine.
Lors de la mesure énergétique de l’environnement, l’appareil nous donne trois mesures :
  • La zone (area) : la quantité de photons présente ou la variation du taux vibratoire / longueur d’onde d’après Stéphane Cardinaux, Gébiologue et bioénergéticien.
  • Intensité en R.U : puissance des photons émis ou la puissance énergétique / Intensité de l’onde aussi d’après Stéphane Cardinaux
  • Énergie en Joules : Est déterminé suivant les deux valeurs précédentes

L'orgonite

Source Wikipedia :«L'orgonite est faite d'un mélange de métaux et de matière à base de carbone (la « matrice ») et contient la plupart du temps des cristaux ouminéraux et parfois d'autres additifs. L'orgonite a été initialement inventée par Karl Welz et améliorée par Don Croft, tout ceci étant basé sur des travaux antérieurs de Wilhelm Reich. L'orgonite est utilisée dans le cadre de médecines parallèles qualifiées de pseudosciences par la communauté scientifique».


Par comparaison avec les fabrications de Wilhelm Reich, à base d'alternances de couches métalliques et organiques, et qui auraient été des accumulateurs d'orgone, l'orgonite aurait la propriété de convertir l'orgone négative en orgone positive.


Orgonite testée – 12 cm de diamètre

Plaque bioresonateur – psychotronique


La plaque bioresonateur est une nouvelle technologie d’un médecin russe , Victor Vergun , et son équipe de scientifiques. Les dispositifs qu'ils ont créés sont de petites cartes imprégnées d'une nouvelle technologie fractale. Il existe des petites cartes (format carte de crédit, voir article sur l’eau, ou des plus grandes pour harmoniser une pièce (10 cm x 10 cm). On peut mettre cette grande carte derrière une photo de la nature pour amplifier la vibration de cette- dernière, chose qui a été faite avec une photo avec un arbre maître.




Mesure avec la technologie GDV


Quatre mesures ont été faites :




  •          Chambre à vide sans harmonisateur
  •           Chambre avec orgonite
  •           Chambre avec plaque seule
  •           Chambre avec plaque + photo de l’arbre maitre


Résultats

Les chiffres parlent assez d’eux-mêmes…