mardi 26 mai 2015

Géobiologie sacrée - Étude de Notre-Dame de Montréal



La géobiologie sacrée est l'étude des sites sacrés tels que les cathédrales, les anciennes églises romanes afin de découvrir ce que les anciens ont voulu nous transmettre par leurs constructions et leurs savoirs, considérés comme hérétiques,  provenant de grandes traditions disparus et demandant à être redécouvert en ce XIXème siècle. Il est intéressant de voir que ce savoir a été amené ici par des bâtisseurs initiés au début de la colonisation. 

Avec un groupe d’étudiants, nous avons entrepris l’étude de Notre-Dame de Montréal. Expérience enrichissante et à reproduire.

Un peu d’histoire

(Extrait de http://www.archeologie.qc.ca/passee_notredame_fr.php?menu=3)


La première église Notre-Dame occupait le centre de la rue Notre-Dame, en face de l'église actuelle.

La construction et le parachèvement de cette première église paroissiale ont été réalisés sur une très longue période de temps et à travers de multiples transformations. Dans sa forme primitive, l'église n'était constituée que d'une simple nef coupée aux deux tiers de sa longueur par un transept aux extrémités duquel se trouvaient deux chapelles (fig. 1).


Fig 1

La construction de cette première version s'est échelonnée sur une période relativement longue, débutant en 1672 et se terminant en 1683.

En 1720, la tâche de refaire la façade de l'église est confiée à Chaussegros de Léry. Le gros des travaux de construction de la façade et du clocher a lieu entre 1723 et 1725 (fig. 2).

Par la suite, la construction des bas-côtés, de part et d'autre de la nef, est entreprise en 1734 au nord et en 1739 au sud. Avec ces agrandissements, la largeur intérieure de l'église est dorénavant  équivalente à celle du transept d'origine. Ces ajouts ne suffisent cependant pas. Dans la  seconde moitié du XVIIIe siècle, de nombreux fidèles doivent assister aux offices sur le parvis de l'église et sur la rue. Des jubés sont alors construits un peu partout dans l'église.

Encore en1813, des jubés sont ajoutés dans les transepts pour loger les écoliers. Au terme de son existence en 1830, l'église est dotée de 220 bancs et 74 chaises

Durant le premier quart du XIXe siècle, la capacité d'accueil de l'église ne parvient pas à satisfaire les besoins de la population montréalaise sans cesse croissante. S'il a été possible depuis 1683 d'agrandir l'église par la construction de bas-côtés et d'augmenter sa capacité intérieure par l'ajout de jubés, la solution aux problèmes d'exiguïté en ce début de siècle sera d'un tout autre ordre. Dans un rapport remis en septembre 1822, le comité de marguilliers chargé d'étudier la question recommande la construction d'une nouvelle église le long de la rue Saint-Sulpice, sur les terrains situés immédiatement au sud de l'église existante.


Les travaux débutent en 1823 et se terminent en 1829. La seconde église Notre-Dame est bénite le 7 juin 1829.

Les travaux de démolition de la vieille église débutent en mai 1830. La façade de pierre est démontée et transportée au monastère des Récollets où elle y ornera l'église jusqu'à sa démolition en 1867 (fig. 4). Jusqu'à l'achèvement des deux tours de la nouvelle église, le clocher de l'ancienne va demeurer debout et ne sera démoli qu'en 1843.



Étude géobiologique

En faisant l’étude à distance, on se rend compte que la nouvelle basilique n’a rien d’exceptionnel bien au contraire, elle est chargée en entités et pollutions électromagnétiques. La ville a eu l’ingénieuse idée de laisser les traces de l’ancienne église (voir marque au sol sur la photo), et là surprise, le savoir des anciens bâtisseurs était bien présents. On se rend compte qu’un courant d’eau traversait l’église de long en large (surement associé avec un courant tellurique mais non confirmé) arrivant sur le côté au niveau des bras du transept de l’église. Le courant tellurique rentre en partie dans la nouvelle basilique mais est dévié.






Quand on rentre dans la nouvelle basilique, on a un haut taux vibratoire sur le lieu de recueillement de St-Anne patronne du Québec. Par contre, quand on arrive dans la chapelle du fond, on sent tout de suite un mal-être, cela ne vibre pas plus que 5000 UB. Il y a une sculpture en cuivre ou zinc qui vibre à 1000 UB (voir photo ci-bas), des entités sont présentes. 




L'expérience fut très enrichissante malgré que cela soit placé en plein milieu de la rue et ceci sous le regard curieux des automobilistes..

Benoît Tramblay
Fondateur de l'École de la Terre -géobiologue
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
www.naturame.ca | info@naturame.ca


dimanche 17 mai 2015

Géobiologie - Nos maisons sont-elles malades ?

Après plus d’une cinquantaine d’études géobiologiques de maison particulière au Québec (ceci exclut les fermes et les terrains), il est intéressant d’analyser quelles sont les nuisances les plus communes que l’on retrouve dans nos maisons. La maison est aussi un être vivant, avec différentes dimensions.  Une maison est en quelque sorte une extension de notre être : si un «organe» de la maison est malade, alors nous avons beaucoup de risques  de l’être aussi pouvant aller du court à long terme suivant le style de vie que nous menons. Notre société actuelle ne reconnait pas vraiment en ce XXIe siècle l’impact de l’environnement sur notre santé, on en parle, oui, mais quels sont les actions ? on continue à construire des blocs appartements prochent des lignes hautes tensions, des compteurs Wi-Fi à outrance dans les écoles, les pesticides dans les champs, etc., etc. On sera bien obligé de changer nos modes de vie vers une orientation plus écologique.  Ce mouvement est démarré heureusement, je le vois bien dans les visites que je fais, les gens prennent conscience que leur maison peut jouer sur leur état de santé et ceci grâce au nouveau compteur Hydro… (cela n’a pas que du tort enfin de compte).
  

Ces statistiques sont basées sur la répartition suivante des maisons étudiées au Québec  : 


Lors des études géobiologiques des maisons, différentes dimensions sont considérées afin d’avoir une approche le plus globale de la santé de la maison :

  • Les nuisances cosmo-telluriques, où différents phénomènes tels que les courants d’eau souterrain, faille, réseaux énergétiques, etc. peuvent  nous affecter. Elles peuvent avoir un effet négatif lorsque les ondes cosmiques rencontrent des accidents géologiques (failles, courants d’eau), elles sont reflétées à la surface du sol et peuvent amener des distorsions. Ces phénomènes peuvent alors amener des inconforts au sein de votre habitation, ce sont des phénomènes géopathogènes. La Terre est aussi quadrillée par différents réseaux énergétiques. Les réseaux ont peu d’influence sur la santé, mais les croisements peuvent être très actifs négativement sur le plan de la santé humaine dans une maison, ou attirer des espèces d’animaux nuisibles comme les termites, fourmis, etc.; on appelle ceci un nœud géopathogène.  On rencontre aussi souvent des «cheminées» dont leurs rôles sont de rééquilibrer les plans vibratoires de la terre. S’il y a une charge négative sur le lieu (points négatifs, lieu où il y a eu un suicide, meurtre, guerre, etc.), elles vont «pomper» l’énergie au maximum et épuiser le lieu.
  • Les nuisances électriques et électromagnétiques  produites par les activités humaines (lignes haute tension, appareil électrique, Wi-Fi, etc.).  Les champs électriques peuvent affecter notre système nerveux et endocrinien, alors que les champs magnétiques, eux, perturbent le fonctionnement cellulaire, particulièrement au niveau de l'ADN, jusqu'à modifier le patrimoine génétique.
  • Les nuisances de l’air tel que le CO2 que l’on rejette, les COV que l’on retrouve dans nos produits ménagers, meubles, etc.  Ces différents polluants conduisent petit à petit des auto-empoisonnements insidieux. Des maladies chroniques, des affections cancéreuses. Ce sont des choses difficiles à mesurer, car c’est selon la sensibilité de la personne.
  • Les influences paranormales telles que des mémoires du lieu, des objets chargés négativement, voir des entités, etcCelles-ci peuvent différer d’un individu à l’autre suivant sa sensibilité. Ceci peut donner une sensation de mal-être, de dépression, tristesse, fatigue, etc.



Sur le nombre total de nuisances rencontrées, en regardant la répartition des nuisances, les nuisances cosmo-telluriques et les pollutions électromagnétiques sont les plus rencontrés et sont en intercorrélation. En effet, plus la maison est polluée électriquement parlant et plus on y retrouve des nœuds géopathogènes, car le réseau est un vrai buvard absorbant toutes les négativités électromagnétiques du lieu.  Un lien existe aussi entre le paranormal et les nuisances cosmo-telluriques, si on trouve des cheminées sont présentes sur le lieu, il y a une forte probabilité d’avoir des mémoires négatives, voir des entités.

Analyse des nuisances 



Plus de 70% des maisons au moins un nœud géopathogène et comme mentionné précédemment ce haut pourcentage est dû aux pollutions électromagnétiques. L’important est de savoir où est situé le nœud géopathogène, s’il est dans le couloir, ce ne dérange personne, par contre si il est sous votre lit, vous avez des chances d’avoir des nuits agitées ou voir des douleurs apparaîtrent mais cela dépend de chacun. Une maison sur deux est aussi touchée par un phénomène de faille, pouvant amener un risque d’avoir du radon et un niveau de radioactivité naturelle plus élevé. Les gens peuvent ressentir de la fatigue en se levant si cette faille passe sous le lit. La notion de volume bouché correspond à des anciennes cheminées bouchées ou des puits bouchés, ceci peut amener une zone négative et une plus grande ionisation positive de l’air.


Plus de 80% des maisons ont des nuisances électromagnétiques, ce qui n’est pas surprenant. Tout le monde a un Wi-Fi dans sa maison branchée 24h/24h alors qu’il suffit de la débranche la nuit pour améliorer la qualité du sommeil récupérateur. Les champs basses fréquences sont souvent dus à des problèmes de mise à la terre et plus particulièrement à Montréal où on peut dire que c’est un vrai bouillon électromagnétique sans vouloir être alarmiste. Le test du radon n’est pas fait obligatoirement, seulement s’il sort lors de notre protocole d’étude.



Ces statistiques ne reflètent pas vraiment une réalité puisque celles-ci ont été intégrées plus tard dans le protocole d’étude de maison. Mais ce que l’on peut voir assez rapidement, c’est que nos maisons respirent mal.. Et surtout en hiver où on ne peut pas ouvrir les fenêtres (bien qu’il faudrait le faire, même 1 minute…).


Les nuisances métaphysiques sont bien présentes dans nos maisons. Entre les meubles de famille ayant une mémoire, des masques tribaux ayant servi à des rituels, etc. on peut vraiment ressentir un mal-être. Les entités ont été décelées dans  30% (actuellement) des maisons, mais ce chiffre est pour monter, depuis quelque temps, elles sont plus présentes  (sans nuire obligatoirement), je dirais c’est plus des âmes perdues qui ont besoin d’aide. Notre monde occidental par son aspect de plus en plus matérialiste et ce sentiment d’insécurité alimenté en permanence empêchent nos proches surement de quitter ce plan dans une grande sérénité,  parfois on est amené à les accompagner si  cela est dans nos cordes évidemment.

Si on regarde par région les nuisances, plus particulièrement la Montérégie et Montréal, cela est pas mal similaire dans les proportions bien que  Montréal a beaucoup plus de nuisances électromagnétiques.





Pour les autres régions, ceci est à titre indicatif vu que la proportion d’étude est plus petite et moins représentative par rapport à Montréal et la Montérégie.




Benoît Tramblay
Fondateur de l'École de la Terre -géobiologue
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
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mercredi 6 mai 2015

Géobiologie scientifique - Étude d’un noeud géopathogène par la technologie GDV

Objectif

Depuis cette dernière décennie,  la technologie rejoint le monde du ressenti. Il nous est possible maintenant d’affirmer ou infirmer ce que l’on peut détecter en tant que géobiologue ce qui est vraiment passionnant. Cette expérimentation ne suit pas un protocole dans toute sa rigueur, mais permet de démontrer l’effet d’un nœud géopathogène sur notre environnement et par le fait même sur notre santé. Cette expérience a été menée tout simplement dans ma maison où un nœud est actif, mais en dehors des zones de repos donc non perturbant pour les habitants.

Définition

Nœud géopathogène


La Terre est quadrillée par différents réseaux énergétiques. Les réseaux ont peu d’influence sur la santé, mais les croisements peuvent être très actifs négativement sur le plan de la santé humaine dans une maison, ou attirer des espèces d’animaux nuisibles comme les termites, fourmis; on appelle ceci un nœud géopathogène.
Le réseau Hartmann par exemple a des mailles formées par des bandes énergétiques dont les dimensions sont les suivantes :

  2 m dans le sens nord-sud
  2.50 m dans le sens est-ouest
  Ses mailles et les bandes peuvent être déformées s’il y a de l’eau sous terre.


Tous les croisements du réseau ne sont pas actifs, mais il suffit que de l’eau circule sous la terre, alors les croisements vont devenir actifs et nuisibles à l’environnement

La technologie GDV


La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K. Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.


Exemple de  mesure avec l’index droit où chaque zone est associée à la vitalité d’un ou des organes.


Avec la technologie GDV en lien avec un logiciel sophistiqué, on peut établir un bilan énergétique au complet en faisant des mesures des dix doigts offrant ainsi une vue holistique de la personne.

Il est possible aussi de mesurer l’énergie de l’environnement  par une sonde , l’antenne SPUTNIK.

Lors de la mesure de l’énergie de l’environnement, celle-ci est très sensible aux conditions externes (atmosphère, etc.)  incluant les émotions humaines. Toutes les mesures ont été prises sans présence humaine.

Lors de la mesure énergétique de l’environnement, l’appareil nous donne trois mesures :

  • -          La zone (area) : la quantité de photons présente ou la variation du taux vibratoire / longueur d’onde d’après Stéphane Cardinaux, Gébiologue et bioénergéticien.
  • -          Intensité en R.U : puissance des photons émis ou la puissance énergétique / Intensité de l’onde aussi d’après Stéphane Cardinaux
  • -          Énergie en Joules : Est déterminé suivant les deux valeurs précédentes.


Cette technologie est reconnue et utilisée par le monde médical et scientifique russe.

Mesure

Mesure de l’environnement avec le Sputnik




La mesure a été prise dans une zone où aucune nuisance géobiologique n’a été détectée avec les baguettes, l’autre mesure, le Sputnik  a été placé directement sur un nœud géopathogène du réseau Hartmann.



En comparant les deux mesures avec le Sputnik, une sur un nœud géopathogène et l’autre en dehors de la zone, on remarque la grande différence d’énergie que l’on peut ressentir nous même avec nos baguettes ou notre propre corps.

Comme on le sait, un nœud géopathogène du réseau Hartmann renvoie les informations négatives qu’il a «absorbées» dans son environnement.

Mesure de l’impact énergétique sur le corps

 Mesure du niveau de stress


Avec l’appareil Bio-Well utilisant la technologie GDV, il est possible de faire mesurer notre niveau de stress sur le plan énergétique (il est aussi possible de faire une mesure complète de notre vitalité énergétique, mais cela est plus long).
Pour la mesure du stress, il suffit de mettre l’annulaire gauche et droit sur la caméra GDV. 


Lors de la mesure du niveau de stress avec l’appareil, une analyse est faite ensuite suivant les photos des annulaires.

 Dans cet exemple, c’est la photo de l’annulaire droit, dont chaque zone est associée à un organe bien spécifique. À gauche, c’est la photo en en dehors du nœud, à droite le même doigt, mais en étant assis sur le nœud géopathogène. On voit bien des pertes d’énergies (trou) et la diminution de l’intensité photonique.

Échelles de mesure


Trois mesures sont indiquées dans l’analyse des photos :
Niveau de stress

-          0-2: Personne absolument calme et totalement détendue
-          2-4: État calme, normal.
-          4-6: État excité, caractéristique du travail actif
-          6-7: Quatre situations sont possibles:

·         Réaction à une situation stressante (conversation désagréable, la maladie, la conduite automobile dans des conditions stressantes, etc.).
·         Nervosité accrue, accumulée au cours de stress à long terme, la tension émotionnelle et le trouble autonome.
·         Les personnes atteintes de type spécial de la psyché,
·         Les athlètes dans le moment de la concurrence, les acteurs à la performance, les étudiants aux examens, etc.
·         Les enfants dans un état d'excitation nerveuse.

-          7-10: très haut niveau de stress, sommet de l'excitation émotionnelle.

Énergie

-          0-20% : faible consommation d'énergie (peut être liée à une perte de l'énergie)
-          20% - 60% : l'énergie typique;
-          60% - 100% : haute énergie.

Balance
Équilibre énergétique entre la gauche et la droite du corps.

-          0-50% - très faible bilan - indication de mauvais fonctionnement grave;
-          50% - 70% - faible équilibre - indication de trouble fonctionnel;
-          70% - 100% - typique.

Protocole

Dans le cadre de cette expérimentation de mesure du niveau de stress, le protocole suivant a  été fait :
-          pour les cas suivants où je me suis assis et ai effectué une mesure :
o   En dehors du nœud géopathogène,  dans une zone neutre
o   Sur le nœud géopathogène
o   Sur le nœud géopathogène harmonisé avec une coquille st-jacques
o   Sur le nœud géopathogène en tenant une shungite
o   Sur le nœud géopathogène harmonisé avec une plaque isolante spéciale.

-          Cinq mesures consécutives aux 2-3 minutes pour chacun des cas décrits précédemment  ont été prises afin d’avoir une moyenne énergétique et voir comment notre corps réagissait à un stress géopathogène ou non.

L’expérimentation a été faite en fin de journée bien chargée d’où comme on pourra le voir dans les résultats un certain de niveau de stress et de fatigue.

Résultats

 
Niveau de stress


Lors des différentes mesures, on remarque lors de la première mesure sur le nœud, mon corps énergétique a réagi vivement avant de se replacer vers son état initial. En utilisant différents harmonisateurs, dont certains comme la shungite qui n’est pas vraiment utilisée pour les nœuds géopathogènes, mais plus pour les pollutions électromagnétiques, le niveau de stress ne change pas, sauf pour la plaque isolante posée au sol sur le nœud.

Énergie



Mon niveau d’énergie n’était déjà pas très haut en fin de journée, mais en s’asseyant sur le nœud, cela a clairement fait encore plus baisser mon niveau d’énergie. Je vous laisse imaginer pour ceux qui en fin de journée dont le lit est situé sur un nœud, pensent pouvoir récupérer après une bonne nuit de sommeil.
 
Balance énergétique



On voit que le corps contrebalance le plus possible les déséquilibres énergétiques afin de trouver son juste équilibre pour retourner vers la normale.

Comparatif des valeurs moyennes




Benoît Tramblay
Fondateur de l'école de la Terre - Géobiologue
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