lundi 28 décembre 2015

Mesures et expériences énergétiques sur l'eau avec la technologie GDV

Pourquoi :


Suite à la visite de la grotte de Lourdes,  et ressentant l’énergie du courant tellurique dans sa grande force, j’ai décidé de ramener de l’eau de Lourdes afin de la tester avec la technologie GDV, de pousser l’étude en comparant la vibration de cette eau avec celle du Mont St-hilaire qui est un lieu de haute vibration et de réharmoniser la qualité vibratoire de l’eau du commerce avec des plaques spéciales vendues dans le commerce.


Grotte de Lourdes

Des premières mesures avaient été faites par Masaru Emoto par la cristallisation de l’eau :

«Dans son livre ‘Messages de l’Eau’, Masaru Emoto nous parle du « HADO », synonyme de chi en japonais, qui signifie « monde des énergies subtiles, relié à la conscience » ou « Énergie Universelle ». Au début de ses recherches sur l’Eau, il a eu l’intuition  qu’on pouvait mesurer et visualiser ce « Hado ». Il y a réussi en 1994, et nous livre de magnifiques photos de cristaux d’eau gelée, tous différents les uns des autres, comme le sont les flocons de neige, suivant les informations auxquelles l’eau a été exposée  (mots, musiques, photos…). Il a pu ensuite mesurer la pureté des eaux des rivières, des lacs,  l’eau du robinet et des sources curatives du monde entier.»[i]


La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.


Dans le cadre de cette étude, j’ai utilisé une sonde spéciale que l’on met dans l’eau et laissée pendant 30 minutes. 



Mesures de la qualité vibratoire des eaux


L’eau de Lourdes mesurée ne sort pas hélas directement de la source, elle a été conservée dans une bouteille de verre entourée dans du papier aluminium pendant 4 mois.  Par contre l’eau de la source du Mont St-Hilaire est issue de la source avec 24h de conservation uniquement. L’eau de source indiquée dans les graphiques provient d’une bouteille d’une marque donnée dont je tairais le nom. 


Lors de la mesure énergétique de l’environnement, l’appareil nous donne trois mesures :

  •          La zone (area) : la quantité de photons présente ou la variation du taux vibratoire / longueur d’onde d’après Stéphane Cardinaux, Gébiologue et bioénergéticie

  •          Intensité en R.U : puissance des photons émis ou la puissance énergétique / Intensité de l’onde aussi d’après Stéphane Cardinaux

  •          Énergie en Joules : Est déterminé suivant les deux valeurs précédentes.


En comparant l’eau de ville, l’eau en bouteille et l’eau de Lourdes, on voit encore clairement la qualité vibratoire de cette dernière malgré qu’elle a été stockée pendant 4 mois. Par contre l’eau en bouteille est bien décevante par rapport à l’eau de la ville; est-ce le transport, stockage (bouteille en plastique) qui fait perdre la qualité vibratoire de l’eau de source en bouteille ?






En comparant les mesures avec l’eau du Mont st-hilaire, on voit que cette dernière a des qualités vibratoires à ne pas négliger, ce qui n’est pas surprenant vu qu’elle est traversée par un courant tellurique avec présences de vortex. À quand une station curative au mont  St-Hilaire ;-)



Tests avec des plaques énergétiques


Plaque d'Énergie pourpre Tesla

Cette plaque en aluminium a subi un traitement spécial selon le Brevet de Nikola Tesla. Elle est comme une carte de crédit  de couleur pourpre. En 1901 Nikola Tesla dépose un Brevet pour la confection d'une Plaque d'énergie pourpre.  110 ans après la Plaque d'Énergie pourpre de Nikola Tesla voit enfin le jour. La couleur couleur pourpre (ou violette) n'a pas été choisie au hasard par Nikola Tesla mais par nécessité. En effet, cette couleur correspond au chakra coronal (Shasrara) situé au sommet du crâne. Le pourpre violet correspond à l'association des couleurs rouge et bleue.
J’avais des doutes personnellement sur cette plaque car pour ma part, je n’ai aucun ressenti lorsque je la tiens dans ma main, mis à part le froid de l’aluminium.


Plaque bioresonateur – psychotronique


La plaque bioresonateur est une nouvelle technologie d’un médecin russe , Victor Vergun , et son équipe de scientifiques. Les dispositifs qu'ils ont créés sont de petites cartes imprégnées d'une nouvelle technologie fractale. Ces cartes sont utilisées en Russie pour régénérer dans le domaine de l'énergie, y compris pour réharmoniser de l'eau à sa version primitive à la source.
Étant donné que ces cartes interagissent avec les facteurs psychotroniques , il est difficile de les tester à une normale laboratoire. Le terme psychotronique est l'appellation slave pour parapsychologie et métapsychique, avec une consonance plus technique.
La psychotronique s'est développée en Russie et dans les pays de l'ancien bloc soviétique durant la guerre froide.



En prenant cette plaque dans les mains, on ressent une grande énergie et difficile de cerner si elle est bonne ou non. Il existe aussi des grandes plaques pour réharmoniser une pièce, cela sera dans une prochaine étude.

Résultats


Chacune des plaques a été mise sous la bouteille pendant trente minutes avant la mesure pour être sûr que l’eau soit imprégnée de la vibration de la carte.





Les résultats sont quand même assez parlants, les deux cartes ont remonté le taux vibratoire de l’eau. Ce serait vraiment intéressant de voir avec la technique Masaru Emoto si l’eau aurait récupéré une belle structure cristalline.

Conclusion


Afin de confirmer la véracité de ceci, il faudrait refaire plusieurs fois ces tests car je me suis rendu compte lors des mesures que la sonde était très sensible à différents facteurs celle de l'eau mais aussi les conditions météorologiques affectant la qualité vibratoire de celle-ci. On peut quand même conclure que l'eau de Lourdes a des vertus particulières et que celle du Mont St-Hilaire serait à explorer. L'eau de source de bouteille n'est pas plus vivante que celle issu du robinet.. Pour les plaques le résultat est quand même assez concluant mais des tests seraient à refaire pour confirmer le tout. 



[i] http://messagesdelanature.ek.la/les-cristaux-d-eau-de-masaru-emoto-c371456





mercredi 23 décembre 2015

Géobiologie sacrée - Étude géobiologique de l’oratoire Saint-Joseph

Dans le cas de nos études  géobiologiques avec l’École de la Terre , nous avons décidé d’étudier l’Oratoire St-Joseph, bien que  nous disais qu’il pas difficile d’accès car il était surveillé. Enfin de compte, le site s’est ouvert à nous où nous avons plus étudié des salles sans être dérangés pendant plusieurs dizaines de minutes. Ces résultats sont par rapport à nos ressentis personnels, certains méritent d’être reconfirmé, car nous ne pouvions toujours pas utiliser notre matériel de géobiologie et nous n’avons pas plus exploré l’extérieur à cause du vent froid. 

La basilique



Le premier sentiment a été des picotements dans la main dès qu’on rentre dans la salle, on sent que l’énergie est élevée, un vortex est présent à l’entrée, on a un taux de 50 000 à 70 000 UB. Plus on se rapproche de la coupole et plus le taux est fort.  En s’asseyant  le plus proche de la coupole, on ressent des picotements montés dans les jambes, signe d’un courant tellurique, accompagné d’un mal-être lié au niveau du plexus, signe de mémoires négatives ou formes pensées négatives, laissées par les pèlerins amenant et déposant leurs souffrances pour une rédemption certaine (les premières églises faisaient les offices avec de l’encens, on retrouve encore cette tradition chez les Orthodoxes, cela n’était pas pour rien).  En allant s’assoir directement sous la voute, on sent une plus grande légèreté, cela vibre à 270 000 UB,  un ley line ou/et en lien avec un courant tellurique passe directement ici.

En passant le chœur de la basilique,  de chaque côté dans les couloirs, une cheminée de chaque bord se trouve, une positive et une négative.

La cheminée positive étant du côté de la relique de Frère St-André.  Est-ce des cheminées venues par elle-même afin de répondre à la loi de l’équilibre, ou elles ont été amenées volontairement (?) bien que le site ne démontre aucune connaissance particulière de l’architecture sacrée.

Cheminée positive dans le couloir à côté de la relique du frère St-André

Reliquaire du frère André

Nous avons visité ensuite la salle où se trouve le cœur du frère St-André,  pas besoin d’instruments pour ressentir cette vibration, sensation de chaleur de picotements dans les mains, après mesure, on trouve une vibration thérapeutique de 720 000 UB.   Le cœur chapelle et support de la fusion de notre petit soi et soi supérieur, le frère André était surement un être hors du commun…




Petite chapelle du frère St-André




On retrouve le courant tellurique et le ley line dans la petite église du frère André où des miracles ont eu lieu. L’énergie est de 450 000 UB.  On retrouve cette configuration à Lourdes où un courant tellurique touche une source d’eau reconnue mondialement pour ces guérisons. Ce courant tellurique s’oriente vers l’ancienne église Notre-Dame de Montréal et vers le mont St-Bruno..

Petite chapelle du frère St-André

Cartographie



mercredi 28 octobre 2015

La téléradiesthésie vue par la technologie GDV

Lors des études géobiologiques, je commence toujours par faire une étude à distance à partir d’une photo de la maison pour identifier les phénomènes géobiologiques potentiels. Les personnes sont toujours un peu dubitatifs ou voir complétement fermés que je fasse du pendule à distance comme si je faisais de la sorcellerie. Pourtant cela marche… J’ai une marge d’erreur de 20%. Lors de la formation professionnelle, les étudiants couvrent au début un large spectre dans leurs trouvailles à distance, mais par la pratique et avec des intentions précises, ils finissent par trouver les mêmes éléments avec un spectre bien plus petit.

Définition de la téléradiesthésie

La téléradhiesthésie est la science qui permet de capter des informations à partir d’une carte, d’une photo émise par les lieux,  d’un être humain, etc. et ceci grâce à la radiesthésie avec le pendule.

Mesure des taux vibratoires à distance d’une carte de sentier


Évidemment dans le cadre des études géobiologiques, on recherche uniquement les phénomènes cosmo-telluriques. Parfois on nous demande de retrouver des personnes, mais cela est plus délicat, car la personne bouge et on peut capter des traces de son passage.

Plus on prend de l’expérience dans la téléradhiestésie et on plus ressent même à distance les phénomènes (picotements dans les doigts, nausées, etc.).

Les explications possibles


Ils existent plusieurs explications, mais hélas pas encore assez de recherches approfondies à ce sujet.
Quand vous trouvez des choses concrètes à distance et facilement vérifiable, on ne peut pas renier cette science et la mettre dans les pseudosciences de charlatans…

  • 1ère explication : La photo est une condensation des vibrations émises par la maison, on capterait ces vibrations condensées, par contre cela n’explique pas comment cela fonctionne quand on travaille sur plan.
  • 2nd explication : dans l’article que j’avais écrit «Comment ressentir les vibrations d’un lieu», en 2013, des travaux ont été approfondis par le docteur en physique Laurent Souriau, dont les expériences ont démontré l’action des ondes de forme sur la matière[6] : en utilisant un émetteur d’ondes de forme, il a réussi à rendre magnétique un métal qui ne l’est pas en temps normal. Son hypothèse est basée sur les champs H1, H2 et H3 d’Émile Pinel, docteur en physique et mathématiques. De manière très simplifiée, le champ H1, un champ magnétique (monde physique), reçoit des informations du champ H2, un champ immatériel et doté de mémoire, par l’intermédiaire du champ H3, un champ de transmission qui change en permanence suivant l’information qu’il capte des neutrinos. Le neutrino est une particule élémentaire engendrée par des cataclysmes cosmiques et il serait porteur de cette information provenant du champ H2 (monde informationnel ou spirituel). Le champ H3 se retrouverait dans toutes les formes, ce qui rejoindrait les observations de Stanilas Bignan.  Les recherches de Laurent Souriau démontrent que les neutrinos sont chargés en un monopôle magnétique, soit une charge ponctuelle non polarisée (les aimants ont deux pôles), laquelle est capturée par l’émetteur d’ondes de forme. Si l’on extrapole dans ce sens, notre corps serait doté d’un champ H3 et, suivant notre question en provenance du champ H2 informationnel, il serait bombardé de neutrinos porteurs d’informations. Les neutrinos sont polarisés magnétiquement et informeraient notre corps énergétique jusqu’aux cristaux de magnétite (champ H1), créant ainsi un réflexe physique involontaire et le mouvement des baguettes ou du pendule.  En clair, est-ce que ce qui est ici-bas (monde H1) est aussi dans ce monde immatériel (monde H2), et il suffit de puiser dans cette librairie pour avoir accès aux informations ? telle est la question.

Tests avec la technologie GDV


J’ai voulu creuser plus loin en utilisant la technologie GDV et voir comment mes systèmes énergétiques étaient avant et après une étude à distance.

La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.


J’ai effectué les tests sur une dizaine d’études à distance afin de voir lesquels de mes chakras (centre énergétique) était le plus sollicité lors de ces études.

Une analyse énergétique était faite avant l’étude et une après l’étude.  Idéalement je fais les études au matin, car je suis reposé et plus équilibré énergétiquement qu’après une journée de travail. L’appareil m’indique les positions des chakras et leurs forces suivant la taille.

Avant étude

Après étude


Premiers constats de l’impact sur les systèmes énergétiques après les études :

  •         Le chakra racine est automatiquement décentré alors que je suis bien enraciné avant l’étude (90% des cas)
  •          Les chakras suivants sont réalignés après une étude s’il ne l’était pas :

o   Le Hara : 75% des cas
o   Le plexus : 75% des cas
o   Le chakra coronal à 90% ces cas



Au début cela n’avait pas de sens surtout quand on pense au Hara, chakra dit «Sacré» relié à notre sexualité et lié à l’élément eau. Mais si on considère à quel plan vibratoire sont reliés ces chakras, tout prend son sens. En effet le Hara est relié au plan éthérique qui le plan de la vitalité, le plexus lui est relié au plan astral et le coronal au plan atmique qui est un plan divin.  Fait intéressant, la Terre a aussi ces mêmes plans vibratoires et les phénomènes géobiologiques que l’on recherche sur carte affectent ces plans subtils et plus particulièrement le plan éthérique et astral où on travaille le plus.

Nos corps énergétiques sont en connexion avec les corps énergétiques de la Terre, cela va de soi, nous sommes connectés, tout est unité.




Donc quand une maison à une faille souterraine, le plan éthérique de cette maison est altéré; en faisant une étude à distance, nous nous connectons sur ce plan vibratoire via notre 2nd chakra , surement le tout guider via notre canal médiumnique par le chakra coronal  permettant de traduire ce que nous ressentons via le pendule ou avoir une sensation physique.

Autre exemple, plus concret, quand une maison est chargée d’entités négatives, il suffit de regarder la photo pour avoir mal au cœur (pour ma part), je me connecte au plan astral via mon plexus solaire.

Pour confirmer cette hypothèse, ce serait intéressant de pousser l’étude sur une plus grande échelle avec des radiesthésistes et analyser les résultats, à suivre.. 

samedi 15 août 2015

L'orgonite et les champs électromagnétiques

J'ai vu dernièrement sur internet un vidéo qui montrait comment annuler les champs électromagnétiques avec une orgonite, l'appareil de mesure montrait clairement l'annulation des champs électromagnétiques. Je vous avoue que j'étais sceptique sur le moment en me basant sur les lois électriques et vu la composition de l'orgonite, mais on sait jamais restons l'esprit ouvert, le mieux est de refaire l'expérience. Commençons par donner des définitions.

Les champs électromagnétiques de basse fréquence




1 - Le champ électrique
Il est constitué de charges élémentaires (electrons, protons). Chacune de ces charges est entourée d’une zone d’influence appelée champ électrique. Même si il n'y a pas de courant dans la pièce, on a des champs électriques présents.

En effet, lorsqu'un objet conducteur isolé du sol est soumis à un champ électrique, les charges électriques migrent à sa surface, se répartissent de manière à annuler le champ électrique à l'intérieur de l'objet. Une tension électrique est alors induite sur les faces opposées de l'objet. Un courant électrique peut alors circuler si une personne ou un animal le touche.
Ce peut être le cas d'un abreuvoir métallique, isolé du sol, et situé sous une ligne à haute tension.

Pour éviter le phénomène de tension induite, il convient de relier l'objet à la terre.

2 – Le champ magnétique 

Le courant électrique (charges électriques en mouvement) crée un champ magnétique. Si on coupe le courant, il n'y a plus de champ magnétique. C'est pour cela que le plus simple pour annuler les champs magnétiques et de couper tout simplement le courant.


L'orgonite

Source Wikipedia :

«L'orgonite est faite d'un mélange de métaux et de matière à base de carbone (la « matrice ») et contient la plupart du temps des cristaux ouminéraux et parfois d'autres additifs. L'orgonite a été initialement inventée par Karl Welz et améliorée par Don Croft, tout ceci étant basé sur des travaux antérieurs de Wilhelm Reich. L'orgonite est utilisée dans le cadre de médecines parallèles qualifiées de pseudo-sciences par la communauté scientifique.

Par comparaison avec les fabrications de Wilhelm Reich, à base d'alternances de couches métalliques et organiques, et qui auraient été des accumulateurs d'orgone, l'orgonite aurait la propriété de convertir l'orgone négative en orgone positive.»

L'expérience avec l'orgonite

La première mesure est le champ électrique (position E de l'appareil),
La secondes mesure est le champ magnétique (position M de l'appareil), le pourquoi j'ai allumé le ventilateur afin que le courant circule.

L'appareil utilisé est relié à la terre et est reconnu dans le milieu comme un outil de qualité.


L'orgonite et les pollutions électromagnétiques par École de la Terre
Conclusion

On se rend compte que cela aucun impact au niveau des champs électromagnétiques, je dirais même que cela un risque d'augmenter les champs électriques vu que c'est une masse métallique sans mise à la terre (on le voit d'ailleurs que les champs augmentent quand l'orgonite est positionné proche de l’interrupteur).

Je nie pas l'effet de l'orgonite, car quand je la prend, je sens de quoi au niveau ressenti, mais je pense que cela n'est pas à utilisé pour compenser les pollutions électromagnétiques. Ce qui est important aussi à savoir, c'est lorsque William Reich a créer le générateur d'orgone dans les années 30, il ne vivait pas dans un bouillon électromagnétique...

Des expériences similaires avec les circuits oscillants de Lakhovsky ont été refait à notre époque où ses enfants avait reconstruit sa machine qui lui avait permis de guérir des personnes, ils ont jamais été capable de reproduire les mêmes résultats à cause des pollutions électromagnétiques ambiantes..

C'est le pourquoi j'utilise jamais d'orgonite car vu sa composition et le bouillon de champs électromagnétiques dans lequel nous vivons, cela doit être évalué lors de l'utilisation surtout dans les grandes villes comme Montréal où il y un champ magnétique permanent à cause des mauvaises mises à la terre.

Je sais que cet article ne fera pas le consensus de tout le monde, mais cela peut avoir un impact sur notre bien être, tout le monde cherche la solution miracle mais hélas il faut contre-vérifier tout ce qui se dit sur internet/télé et non le prendre comme une vérité absolue ..

Benoît Tramblay
Naturopathie-géobiologue
Tél: 514.910.1082
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
www.naturame.ca | info@naturame.ca


vendredi 14 août 2015

Notre maison doit-elle avoir un haut taux vibratoire ?

Souvent on me demande lors de mes étude quelle est le meilleur taux vibratoire pour la maison, même parfois d’avoir un taux  vibratoire comme les hauts lieux cosmo-telluriques …

Commençons par définir le taux vibratoire


Le taux vibratoire est la fréquence de la Lumière circulant en nous et dans tout ce qui vit. Des évènements heureux, la méditation, la prière, la guérison, etc. amènent à monter notre taux vibratoire, alors que la colère, la peur, l’illusion, etc. ne fait que descendre le taux vibratoire. Les lieux habités, chargés, etc. ont des taux vibratoires bas alors que des lieux sacrés ont des taux vibratoires très élèves.

L’échelle de Bovis


L’échelle de Bovis a été mise au point par Alfred Bovis (1871-1947)  au début XXième siècle  pour mesure la signature vibratoire du lieu ou de la personne. Son échelle est devenue une référence en géobiologie traditionnelle, où l'on mesure en unités Bovis (UB).




Exemple de mesure trouvé sur internet :

·         Les bovins :  4000 UB
·         Les êtres humains entre 6000 et 9000 U.B.
·         Les chevaux de 18 à 27.000 UB
·         Les oiseaux au-dessus de 27.000
·         De grands et vieux arbres (chênes, cèdres, oliviers, vieux de plusieurs siècles) peuvent > 100.000 U.B.
Notre planète présente, selon l'endroit où les mesures sont prises, de très grandes variations du taux vibratoire allant de Taux négatifs très bas à des Taux extrêmement élevés.  Au début du siècle la moyenne était de 6500 UB maintenant on est aux alentours de  10 000 UB.

Mais ce qui est important aussi de savoir est que cette échelle est qu’elle est relative par rapport au géobiologue qui effectue la mesure. Si le géobiologue est malade ou fatigué, toutes ces mesures seront basses et inversement si celui-ci a un taux très élevé.


Taux idéal d’une maison


Une maison qui a un taux vibration correcte devrait avoir un taux dans les 13 000 UB, dans les 18 000 UB on parle d’une maison rechargeant.



Il est intéressant de constater par expérience, quand on harmonise une maison sur la demande d’un des propriétaires (souvent à la demande de Madame), l’autre personne se sent moins confortable dans cette nouvelle vibration et se garde une pièce avec plus bas taux où il peut s’isoler.

La question maintenant est de savoir si on doit amener une maison à des hautes vibrations ? Personnellement je ne le recommande pas pour les gens qui ont une vie standard :

  • Des études du professeur K. Korotkov , inventeur de la technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse)  ont démontrer que cela créait un phénomène d’eustress[i], finissant par faire tomber le système immunitaire sur du moyen terme de la personne et activant des cancers, toute une responsabilité pour le géobiologue[ii].
  • J’ai souvent vu des inconforts chez des gens dont la maison était traversée par un courant tellurique car ils n’étaient pas à la même fréquence, ou bien les personnes vivaient dans une zone à haute énergie et quand ils revenaient chez eux suite à une journée de travail avaient des vertiges car le lieu de travail vibrait bien plus bas.
  • Imaginez qu’on demande à une voiture topito de rouler à la vitesse d’une Porsche, sa structure ne tiendra pas, et bien nous c’est pareil, notre structure énergétique ne tiendra pas le choc sur du moyen long terme si celle-ci ne s’adapte pas progressivement par une pratique, des exercices ou autres;  à moins que vous soyez déjà un être de haute vibration en méditation permanente où vous travaillez en permanence avec les hautes énergies…

Vous pouvez toujours par contre créer une pièce ou une zone sur votre terrain dont le taux est plus élevé (tout bon géobiologue doit demander l’autorisation à l’Esprit de lieu avant ) pour vous ressourcer, ou faire des soins énergétiques. Cela est ponctuel et facilite la revitalisation de notre corps énergétique pour maintenir notre vitalité .



Benoît Tramblay
Naturopathie-géobiologue
Tél: 514.910.1082
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
www.naturame.ca | info@naturame.ca



[i] L’eustress : « L’homme a besoin dans sa vie quotidienne d’un niveau minimal de stress. Des objectifs accessibles et stimulants, des échéances réalistes, des changements voulus, des défis intéressants ajustés au plan de vie, aux valeurs, aux circonstances et aux capacités personnelles procurent ce type de stress. Le stress est en ce cas une énergie positive nécessaire à la mobilisation des ressources, à la motivation, à la performance et, de façon générale, au goût de vivre. C’est ce que l’on appelle l’eustress. » Source - http://www.resilience-psy.com/IMG/pdf/le_stress.pdf
[ii] Geopathic Stress Zones and Their Influence on the Human Organism - http://www.geowave-welle-des-lebens.de/files/images/contentBilderGalerie/bilderGalerie1000038/03_wissenschaft/Geopathy-Gerhard-Hacker-Lithuania08.pdf

mardi 26 mai 2015

Géobiologie sacrée - Étude de Notre-Dame de Montréal



La géobiologie sacrée est l'étude des sites sacrés tels que les cathédrales, les anciennes églises romanes afin de découvrir ce que les anciens ont voulu nous transmettre par leurs constructions et leurs savoirs, considérés comme hérétiques,  provenant de grandes traditions disparus et demandant à être redécouvert en ce XIXème siècle. Il est intéressant de voir que ce savoir a été amené ici par des bâtisseurs initiés au début de la colonisation. 

Avec un groupe d’étudiants, nous avons entrepris l’étude de Notre-Dame de Montréal. Expérience enrichissante et à reproduire.

Un peu d’histoire

(Extrait de http://www.archeologie.qc.ca/passee_notredame_fr.php?menu=3)


La première église Notre-Dame occupait le centre de la rue Notre-Dame, en face de l'église actuelle.

La construction et le parachèvement de cette première église paroissiale ont été réalisés sur une très longue période de temps et à travers de multiples transformations. Dans sa forme primitive, l'église n'était constituée que d'une simple nef coupée aux deux tiers de sa longueur par un transept aux extrémités duquel se trouvaient deux chapelles (fig. 1).


Fig 1

La construction de cette première version s'est échelonnée sur une période relativement longue, débutant en 1672 et se terminant en 1683.

En 1720, la tâche de refaire la façade de l'église est confiée à Chaussegros de Léry. Le gros des travaux de construction de la façade et du clocher a lieu entre 1723 et 1725 (fig. 2).

Par la suite, la construction des bas-côtés, de part et d'autre de la nef, est entreprise en 1734 au nord et en 1739 au sud. Avec ces agrandissements, la largeur intérieure de l'église est dorénavant  équivalente à celle du transept d'origine. Ces ajouts ne suffisent cependant pas. Dans la  seconde moitié du XVIIIe siècle, de nombreux fidèles doivent assister aux offices sur le parvis de l'église et sur la rue. Des jubés sont alors construits un peu partout dans l'église.

Encore en1813, des jubés sont ajoutés dans les transepts pour loger les écoliers. Au terme de son existence en 1830, l'église est dotée de 220 bancs et 74 chaises

Durant le premier quart du XIXe siècle, la capacité d'accueil de l'église ne parvient pas à satisfaire les besoins de la population montréalaise sans cesse croissante. S'il a été possible depuis 1683 d'agrandir l'église par la construction de bas-côtés et d'augmenter sa capacité intérieure par l'ajout de jubés, la solution aux problèmes d'exiguïté en ce début de siècle sera d'un tout autre ordre. Dans un rapport remis en septembre 1822, le comité de marguilliers chargé d'étudier la question recommande la construction d'une nouvelle église le long de la rue Saint-Sulpice, sur les terrains situés immédiatement au sud de l'église existante.


Les travaux débutent en 1823 et se terminent en 1829. La seconde église Notre-Dame est bénite le 7 juin 1829.

Les travaux de démolition de la vieille église débutent en mai 1830. La façade de pierre est démontée et transportée au monastère des Récollets où elle y ornera l'église jusqu'à sa démolition en 1867 (fig. 4). Jusqu'à l'achèvement des deux tours de la nouvelle église, le clocher de l'ancienne va demeurer debout et ne sera démoli qu'en 1843.



Étude géobiologique

En faisant l’étude à distance, on se rend compte que la nouvelle basilique n’a rien d’exceptionnel bien au contraire, elle est chargée en entités et pollutions électromagnétiques. La ville a eu l’ingénieuse idée de laisser les traces de l’ancienne église (voir marque au sol sur la photo), et là surprise, le savoir des anciens bâtisseurs était bien présents. On se rend compte qu’un courant d’eau traversait l’église de long en large (surement associé avec un courant tellurique mais non confirmé) arrivant sur le côté au niveau des bras du transept de l’église. Le courant tellurique rentre en partie dans la nouvelle basilique mais est dévié.






Quand on rentre dans la nouvelle basilique, on a un haut taux vibratoire sur le lieu de recueillement de St-Anne patronne du Québec. Par contre, quand on arrive dans la chapelle du fond, on sent tout de suite un mal-être, cela ne vibre pas plus que 5000 UB. Il y a une sculpture en cuivre ou zinc qui vibre à 1000 UB (voir photo ci-bas), des entités sont présentes. 




L'expérience fut très enrichissante malgré que cela soit placé en plein milieu de la rue et ceci sous le regard curieux des automobilistes..

Benoît Tramblay
Fondateur de l'École de la Terre -géobiologue
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
www.naturame.ca | info@naturame.ca


dimanche 17 mai 2015

Géobiologie - Nos maisons sont-elles malades ?

Après plus d’une cinquantaine d’études géobiologiques de maison particulière au Québec (ceci exclut les fermes et les terrains), il est intéressant d’analyser quelles sont les nuisances les plus communes que l’on retrouve dans nos maisons. La maison est aussi un être vivant, avec différentes dimensions.  Une maison est en quelque sorte une extension de notre être : si un «organe» de la maison est malade, alors nous avons beaucoup de risques  de l’être aussi pouvant aller du court à long terme suivant le style de vie que nous menons. Notre société actuelle ne reconnait pas vraiment en ce XXIe siècle l’impact de l’environnement sur notre santé, on en parle, oui, mais quels sont les actions ? on continue à construire des blocs appartements prochent des lignes hautes tensions, des compteurs Wi-Fi à outrance dans les écoles, les pesticides dans les champs, etc., etc. On sera bien obligé de changer nos modes de vie vers une orientation plus écologique.  Ce mouvement est démarré heureusement, je le vois bien dans les visites que je fais, les gens prennent conscience que leur maison peut jouer sur leur état de santé et ceci grâce au nouveau compteur Hydro… (cela n’a pas que du tort enfin de compte).
  

Ces statistiques sont basées sur la répartition suivante des maisons étudiées au Québec  : 


Lors des études géobiologiques des maisons, différentes dimensions sont considérées afin d’avoir une approche le plus globale de la santé de la maison :

  • Les nuisances cosmo-telluriques, où différents phénomènes tels que les courants d’eau souterrain, faille, réseaux énergétiques, etc. peuvent  nous affecter. Elles peuvent avoir un effet négatif lorsque les ondes cosmiques rencontrent des accidents géologiques (failles, courants d’eau), elles sont reflétées à la surface du sol et peuvent amener des distorsions. Ces phénomènes peuvent alors amener des inconforts au sein de votre habitation, ce sont des phénomènes géopathogènes. La Terre est aussi quadrillée par différents réseaux énergétiques. Les réseaux ont peu d’influence sur la santé, mais les croisements peuvent être très actifs négativement sur le plan de la santé humaine dans une maison, ou attirer des espèces d’animaux nuisibles comme les termites, fourmis, etc.; on appelle ceci un nœud géopathogène.  On rencontre aussi souvent des «cheminées» dont leurs rôles sont de rééquilibrer les plans vibratoires de la terre. S’il y a une charge négative sur le lieu (points négatifs, lieu où il y a eu un suicide, meurtre, guerre, etc.), elles vont «pomper» l’énergie au maximum et épuiser le lieu.
  • Les nuisances électriques et électromagnétiques  produites par les activités humaines (lignes haute tension, appareil électrique, Wi-Fi, etc.).  Les champs électriques peuvent affecter notre système nerveux et endocrinien, alors que les champs magnétiques, eux, perturbent le fonctionnement cellulaire, particulièrement au niveau de l'ADN, jusqu'à modifier le patrimoine génétique.
  • Les nuisances de l’air tel que le CO2 que l’on rejette, les COV que l’on retrouve dans nos produits ménagers, meubles, etc.  Ces différents polluants conduisent petit à petit des auto-empoisonnements insidieux. Des maladies chroniques, des affections cancéreuses. Ce sont des choses difficiles à mesurer, car c’est selon la sensibilité de la personne.
  • Les influences paranormales telles que des mémoires du lieu, des objets chargés négativement, voir des entités, etcCelles-ci peuvent différer d’un individu à l’autre suivant sa sensibilité. Ceci peut donner une sensation de mal-être, de dépression, tristesse, fatigue, etc.



Sur le nombre total de nuisances rencontrées, en regardant la répartition des nuisances, les nuisances cosmo-telluriques et les pollutions électromagnétiques sont les plus rencontrés et sont en intercorrélation. En effet, plus la maison est polluée électriquement parlant et plus on y retrouve des nœuds géopathogènes, car le réseau est un vrai buvard absorbant toutes les négativités électromagnétiques du lieu.  Un lien existe aussi entre le paranormal et les nuisances cosmo-telluriques, si on trouve des cheminées sont présentes sur le lieu, il y a une forte probabilité d’avoir des mémoires négatives, voir des entités.

Analyse des nuisances 



Plus de 70% des maisons au moins un nœud géopathogène et comme mentionné précédemment ce haut pourcentage est dû aux pollutions électromagnétiques. L’important est de savoir où est situé le nœud géopathogène, s’il est dans le couloir, ce ne dérange personne, par contre si il est sous votre lit, vous avez des chances d’avoir des nuits agitées ou voir des douleurs apparaîtrent mais cela dépend de chacun. Une maison sur deux est aussi touchée par un phénomène de faille, pouvant amener un risque d’avoir du radon et un niveau de radioactivité naturelle plus élevé. Les gens peuvent ressentir de la fatigue en se levant si cette faille passe sous le lit. La notion de volume bouché correspond à des anciennes cheminées bouchées ou des puits bouchés, ceci peut amener une zone négative et une plus grande ionisation positive de l’air.


Plus de 80% des maisons ont des nuisances électromagnétiques, ce qui n’est pas surprenant. Tout le monde a un Wi-Fi dans sa maison branchée 24h/24h alors qu’il suffit de la débranche la nuit pour améliorer la qualité du sommeil récupérateur. Les champs basses fréquences sont souvent dus à des problèmes de mise à la terre et plus particulièrement à Montréal où on peut dire que c’est un vrai bouillon électromagnétique sans vouloir être alarmiste. Le test du radon n’est pas fait obligatoirement, seulement s’il sort lors de notre protocole d’étude.



Ces statistiques ne reflètent pas vraiment une réalité puisque celles-ci ont été intégrées plus tard dans le protocole d’étude de maison. Mais ce que l’on peut voir assez rapidement, c’est que nos maisons respirent mal.. Et surtout en hiver où on ne peut pas ouvrir les fenêtres (bien qu’il faudrait le faire, même 1 minute…).


Les nuisances métaphysiques sont bien présentes dans nos maisons. Entre les meubles de famille ayant une mémoire, des masques tribaux ayant servi à des rituels, etc. on peut vraiment ressentir un mal-être. Les entités ont été décelées dans  30% (actuellement) des maisons, mais ce chiffre est pour monter, depuis quelque temps, elles sont plus présentes  (sans nuire obligatoirement), je dirais c’est plus des âmes perdues qui ont besoin d’aide. Notre monde occidental par son aspect de plus en plus matérialiste et ce sentiment d’insécurité alimenté en permanence empêchent nos proches surement de quitter ce plan dans une grande sérénité,  parfois on est amené à les accompagner si  cela est dans nos cordes évidemment.

Si on regarde par région les nuisances, plus particulièrement la Montérégie et Montréal, cela est pas mal similaire dans les proportions bien que  Montréal a beaucoup plus de nuisances électromagnétiques.





Pour les autres régions, ceci est à titre indicatif vu que la proportion d’étude est plus petite et moins représentative par rapport à Montréal et la Montérégie.




Benoît Tramblay
Fondateur de l'École de la Terre -géobiologue
www.ecoledelaterre.com | info@ecoledelaterre.com
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