mercredi 28 octobre 2015

La téléradiesthésie vue par la technologie GDV

Lors des études géobiologiques, je commence toujours par faire une étude à distance à partir d’une photo de la maison pour identifier les phénomènes géobiologiques potentiels. Les personnes sont toujours un peu dubitatifs ou voir complétement fermés que je fasse du pendule à distance comme si je faisais de la sorcellerie. Pourtant cela marche… J’ai une marge d’erreur de 20%. Lors de la formation professionnelle, les étudiants couvrent au début un large spectre dans leurs trouvailles à distance, mais par la pratique et avec des intentions précises, ils finissent par trouver les mêmes éléments avec un spectre bien plus petit.

Définition de la téléradiesthésie

La téléradhiesthésie est la science qui permet de capter des informations à partir d’une carte, d’une photo émise par les lieux,  d’un être humain, etc. et ceci grâce à la radiesthésie avec le pendule.

Mesure des taux vibratoires à distance d’une carte de sentier


Évidemment dans le cadre des études géobiologiques, on recherche uniquement les phénomènes cosmo-telluriques. Parfois on nous demande de retrouver des personnes, mais cela est plus délicat, car la personne bouge et on peut capter des traces de son passage.

Plus on prend de l’expérience dans la téléradhiestésie et on plus ressent même à distance les phénomènes (picotements dans les doigts, nausées, etc.).

Les explications possibles


Ils existent plusieurs explications, mais hélas pas encore assez de recherches approfondies à ce sujet.
Quand vous trouvez des choses concrètes à distance et facilement vérifiable, on ne peut pas renier cette science et la mettre dans les pseudosciences de charlatans…

  • 1ère explication : La photo est une condensation des vibrations émises par la maison, on capterait ces vibrations condensées, par contre cela n’explique pas comment cela fonctionne quand on travaille sur plan.
  • 2nd explication : dans l’article que j’avais écrit «Comment ressentir les vibrations d’un lieu», en 2013, des travaux ont été approfondis par le docteur en physique Laurent Souriau, dont les expériences ont démontré l’action des ondes de forme sur la matière[6] : en utilisant un émetteur d’ondes de forme, il a réussi à rendre magnétique un métal qui ne l’est pas en temps normal. Son hypothèse est basée sur les champs H1, H2 et H3 d’Émile Pinel, docteur en physique et mathématiques. De manière très simplifiée, le champ H1, un champ magnétique (monde physique), reçoit des informations du champ H2, un champ immatériel et doté de mémoire, par l’intermédiaire du champ H3, un champ de transmission qui change en permanence suivant l’information qu’il capte des neutrinos. Le neutrino est une particule élémentaire engendrée par des cataclysmes cosmiques et il serait porteur de cette information provenant du champ H2 (monde informationnel ou spirituel). Le champ H3 se retrouverait dans toutes les formes, ce qui rejoindrait les observations de Stanilas Bignan.  Les recherches de Laurent Souriau démontrent que les neutrinos sont chargés en un monopôle magnétique, soit une charge ponctuelle non polarisée (les aimants ont deux pôles), laquelle est capturée par l’émetteur d’ondes de forme. Si l’on extrapole dans ce sens, notre corps serait doté d’un champ H3 et, suivant notre question en provenance du champ H2 informationnel, il serait bombardé de neutrinos porteurs d’informations. Les neutrinos sont polarisés magnétiquement et informeraient notre corps énergétique jusqu’aux cristaux de magnétite (champ H1), créant ainsi un réflexe physique involontaire et le mouvement des baguettes ou du pendule.  En clair, est-ce que ce qui est ici-bas (monde H1) est aussi dans ce monde immatériel (monde H2), et il suffit de puiser dans cette librairie pour avoir accès aux informations ? telle est la question.

Tests avec la technologie GDV


J’ai voulu creuser plus loin en utilisant la technologie GDV et voir comment mes systèmes énergétiques étaient avant et après une étude à distance.

La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.


J’ai effectué les tests sur une dizaine d’études à distance afin de voir lesquels de mes chakras (centre énergétique) était le plus sollicité lors de ces études.

Une analyse énergétique était faite avant l’étude et une après l’étude.  Idéalement je fais les études au matin, car je suis reposé et plus équilibré énergétiquement qu’après une journée de travail. L’appareil m’indique les positions des chakras et leurs forces suivant la taille.

Avant étude

Après étude


Premiers constats de l’impact sur les systèmes énergétiques après les études :

  •         Le chakra racine est automatiquement décentré alors que je suis bien enraciné avant l’étude (90% des cas)
  •          Les chakras suivants sont réalignés après une étude s’il ne l’était pas :

o   Le Hara : 75% des cas
o   Le plexus : 75% des cas
o   Le chakra coronal à 90% ces cas



Au début cela n’avait pas de sens surtout quand on pense au Hara, chakra dit «Sacré» relié à notre sexualité et lié à l’élément eau. Mais si on considère à quel plan vibratoire sont reliés ces chakras, tout prend son sens. En effet le Hara est relié au plan éthérique qui le plan de la vitalité, le plexus lui est relié au plan astral et le coronal au plan atmique qui est un plan divin.  Fait intéressant, la Terre a aussi ces mêmes plans vibratoires et les phénomènes géobiologiques que l’on recherche sur carte affectent ces plans subtils et plus particulièrement le plan éthérique et astral où on travaille le plus.

Nos corps énergétiques sont en connexion avec les corps énergétiques de la Terre, cela va de soi, nous sommes connectés, tout est unité.




Donc quand une maison à une faille souterraine, le plan éthérique de cette maison est altéré; en faisant une étude à distance, nous nous connectons sur ce plan vibratoire via notre 2nd chakra , surement le tout guider via notre canal médiumnique par le chakra coronal  permettant de traduire ce que nous ressentons via le pendule ou avoir une sensation physique.

Autre exemple, plus concret, quand une maison est chargée d’entités négatives, il suffit de regarder la photo pour avoir mal au cœur (pour ma part), je me connecte au plan astral via mon plexus solaire.

Pour confirmer cette hypothèse, ce serait intéressant de pousser l’étude sur une plus grande échelle avec des radiesthésistes et analyser les résultats, à suivre.. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire