La géobiologie sacrée est l'étude des sites sacrés tels que les cathédrales, les anciennes églises romanes afin de découvrir ce que les anciens ont voulu nous transmettre par leurs constructions et leurs savoirs, considérés comme hérétiques, provenant de grandes traditions disparus et demandant à être redécouvert en ce XIXème siècle. Il est intéressant de voir que ce savoir a été amené ici par des bâtisseurs initiés au début de la colonisation.
Un peu d’histoire
(Extrait de http://www.archeologie.qc.ca/passee_notredame_fr.php?menu=3)
La première église Notre-Dame occupait le centre de la rue Notre-Dame, en face de l'église actuelle.
La construction et le parachèvement de cette première église paroissiale ont été réalisés sur une très longue période de temps et à travers de multiples transformations. Dans sa forme primitive, l'église n'était constituée que d'une simple nef coupée aux deux tiers de sa longueur par un transept aux extrémités duquel se trouvaient deux chapelles (fig. 1).
Fig 1
La construction de cette première version s'est échelonnée sur une période relativement longue, débutant en 1672 et se terminant en 1683.
En 1720, la tâche de refaire la façade de l'église est confiée à Chaussegros de Léry. Le gros des travaux de construction de la façade et du clocher a lieu entre 1723 et 1725 (fig. 2).
Par la suite, la construction des bas-côtés, de part et d'autre de la nef, est entreprise en 1734 au nord et en 1739 au sud. Avec ces agrandissements, la largeur intérieure de l'église est dorénavant équivalente à celle du transept d'origine. Ces ajouts ne suffisent cependant pas. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, de nombreux fidèles doivent assister aux offices sur le parvis de l'église et sur la rue. Des jubés sont alors construits un peu partout dans l'église.
Encore en1813, des jubés sont ajoutés dans les transepts pour loger les écoliers. Au terme de son existence en 1830, l'église est dotée de 220 bancs et 74 chaises
Durant le premier quart du XIXe siècle, la capacité d'accueil de l'église ne parvient pas à satisfaire les besoins de la population montréalaise sans cesse croissante. S'il a été possible depuis 1683 d'agrandir l'église par la construction de bas-côtés et d'augmenter sa capacité intérieure par l'ajout de jubés, la solution aux problèmes d'exiguïté en ce début de siècle sera d'un tout autre ordre. Dans un rapport remis en septembre 1822, le comité de marguilliers chargé d'étudier la question recommande la construction d'une nouvelle église le long de la rue Saint-Sulpice, sur les terrains situés immédiatement au sud de l'église existante.
Les travaux débutent en 1823 et se terminent en 1829. La seconde église Notre-Dame est bénite le 7 juin 1829.
Les travaux de démolition de la vieille église débutent en mai 1830. La façade de pierre est démontée et transportée au monastère des Récollets où elle y ornera l'église jusqu'à sa démolition en 1867 (fig. 4). Jusqu'à l'achèvement des deux tours de la nouvelle église, le clocher de l'ancienne va demeurer debout et ne sera démoli qu'en 1843.
Étude géobiologique
En faisant l’étude à distance, on se rend compte que la nouvelle basilique n’a rien d’exceptionnel bien au contraire, elle est chargée en entités et pollutions électromagnétiques. La ville a eu l’ingénieuse idée de laisser les traces de l’ancienne église (voir marque au sol sur la photo), et là surprise, le savoir des anciens bâtisseurs était bien présents. On se rend compte qu’un courant d’eau traversait l’église de long en large (surement associé avec un courant tellurique mais non confirmé) arrivant sur le côté au niveau des bras du transept de l’église. Le courant tellurique rentre en partie dans la nouvelle basilique mais est dévié.
Quand on rentre dans la nouvelle basilique, on a un haut taux vibratoire sur le lieu de recueillement de St-Anne patronne du Québec. Par contre, quand on arrive dans la chapelle du fond, on sent tout de suite un mal-être, cela ne vibre pas plus que 5000 UB. Il y a une sculpture en cuivre ou zinc qui vibre à 1000 UB (voir photo ci-bas), des entités sont présentes.
L'expérience fut très enrichissante malgré que cela soit placé en plein milieu de la rue et ceci sous le regard curieux des automobilistes..
Benoît Tramblay
Fondateur de l'École de la Terre -géobiologue
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